Cher frère,
Voici les récits de hadiths pertinents :
Abdullah ibn Mas’ud rapporte :
« Quiconque lit les quatre premiers versets de la sourate Al-Baqara, le diable n’entrera pas dans cette maison jusqu’au matin : les quatre premiers versets. »
(Elif Lam Mim n’est pas compté)
Celui qui lit le verset du Trône (Ayetü’l-Kürsi), les deux versets qui le suivent et les trois derniers versets de la sourate, sera protégé, lui et sa famille, contre le diable et tout malheur ce jour-là. Si ces versets sont lus à un homme fou/épileptique, il se réveillera/sera guéri de cet état.
(voir Darimi, Fedailu’l-Kur’an, 14)
Abdullah ibn Mas’ud raconte encore :
« Quiconque lit dix versets de la sourate Al-Baqara dans une maison : – les quatre premiers versets
(Elif Lam Mim n’est pas compté)
, l’Ayetü’l-Kürsi et les deux versets qui la suivent
(Al-Baqara, 2/256-257)
et la dernière partie
(Amene’r-Resulü et le verset précédent : Al-Baqara, 284-286)
– Si on lit, le diable n’entre pas dans cette maison jusqu’au matin.
(Tabarani, al-Mu’jam al-Kabir, 8592-Shamilah-, Darimi, ay; Majma’ al-Zawaid, 10/118)
Voici quelques hadiths à ce sujet :
« Ne faites pas de vos maisons des tombiers où l’on ne prie pas. Une maison où l’on récite la sourate Al-Baqara, le diable n’y entre pas. »
(Muslim, Salatü’l-Müsafirin: 27)
« Quiconque recite les trois premiers versets de la sourate Al-Mu’min et le verset 255 de la sourate Al-Baqara, l’Ayetul-Kursi, le matin, sera protégé jusqu’au soir. Et quiconque les recite le soir, sera protégé jusqu’au matin grâce à ces versets. »
(Dârimî, Fadâil : 27)
« Quiconque lit les deux derniers versets de la sourate Al-Baqara, ceux-ci lui suffiront. »
(Bukhari, Maghazi : 27 ; Muslim, Salat al-Musafirin : 17)
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