« Par le ciel et par celui qui le perce ! Connais-tu ce qui est celui qui le perce ? C’est une étoile qui brille… » (Coran, sourate 80, versets 1-2). Il apparaît que Dieu jure par le « ciel » et par « celui qui le perce », tout en demandant : « Comment saurais-tu ce qui est celui qui le perce ? » et en ajoutant que c’est « une étoile qui brille ». Cependant, il ne donne aucune explication sur ce qu’est « celui qui le perce » et donc « l’étoile qui brille ». C’est pourquoi la tâche incombe aux commentateurs. Ces derniers affirment que le mot « târık » peut signifier « celui qui frappe avec force comme un marteau », ou « celui qui frappe à la porte la nuit », ou « celui qui fait battre le cœur ». Quant à « necm-i sâkıb », ils disent qu’il peut désigner toute étoile brillante qui perce les ténèbres par sa lumière intense, ou « l’étoile élevée » en référence à l’expression « l’oiseau s’élève », ou « l’étoile du matin », ou « l’étoile des Pléiades » (Süreyya), ou même le Coran. Pourquoi ce manque d’unanimité ? N’est-ce pas parce que le Coran n’est pas suffisamment clair ?
Cher frère,
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Avec mes salutations et mes prières…
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